Le 6 juillet 2010, dans les locaux du Palais Bourbon, Jean-Pierre Brard, membre du Comité français pour un Iran démocratique, entouré de députés de la majorité et de l’opposition, a présenté les signatures de 350 des 577 membres de l’Assemblée Nationale apposées au bas d’une déclaration de soutien au soulèvement du peuple iranien et à la défense des résidents de la cité d’Achraf.
Selon le député français, le comité, qui rassemble des membres de la gauche comme de la droite, « travaille très clairement avec l'OMPI » qui lui a proposé le texte, lequel a ensuite été amendé avant d'être signé par « la majorité de chaque groupe » présent à l'Assemblée nationale.
Les parlementaires, qui ont sollicité un rendez-vous avec le président Nicolas Sarkozy pour lui remettre les signatures réclament dans leur appel « le soutien total » de l'UE aux « protestations populaires », ainsi que l'aide des Nations unies aux opposants iraniens exilés en Irak, à Achraf, et leur protection par les Etats-Unis.